"Et le voici sur les routes de la banlieure. Il est tout au bonheur de peindre ce qu'il voit, de s'abandonner en toute indépendance à son émotion, d'être ardemment lui aussi un peintre  de vérité. Il   travaille sur la  butte

 

Montmartre encore complètemet agreste, où il y avait des arbres, des haies, des champs, des animaux. [...] Rien ne s'interpose entre sa jeune sensibilité et la nature. Il la peint telle qu'il la voit, dans l'émotion qu'il en reçoit."

Georges Lecomte, Pissarro

  Camille Pissarro: La route de
Versailles à Louveciennes - 1870
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